Les inégalités professionnelles et salariales femmes-hommes perdurent, plus de 40 ans après les premières lois visant pourtant à les faire disparaître. Elles trouvent leur ancrage dans une répartition genrée des tâches domestiques et des responsabilités. Nous luttons et avons toujours lutté pour nos droits et pour faire progresser notre condition. Si on s’arrête toutes, tout s’arrête. Alors le dimanche 8 mars, toutes en grève.

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